Oddsandlens se souvient, comme si c’était hier, de la dernière feuille pressée dans son herbier (L’inattendu parcours d’une feuille sèche). Le lierre d’aujourd’hui, lié à l’hier sus-évoqué, va (grimpe, de par sa nature) plus loin dans son appel à s’intéresser à l’au-delà des feuilles mortes. Appel… ou plutôt cri de cœur, n’est-ce pas?
Car comment échapper à cette métaphore-lierre qui s’entortille autour de notre regard avec la même ténacité dont ces formes végétales font preuve en s’accrochant au mur?

